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L’église Saint-Vincent-Diacre

Elle fut édifiée entre 1854 et 1857. En effet, après l’échec du projet de restauration de l’ancienne église, le Conseil Municipal approuve, en 1854, le nouveau projet de reconstruction quasi totale de l’église autour de son clocher-tour avec meurtrières. C’est Jean Touzis qui en était l’architecte et Jean Garrot l’entrepreneur.

Le lavoir

Il se situe sur la rivière Oussère, en entrant dans le village depuis la D940 (route de Lourdes).    

Il a été restauré en 2013 par une association employant des jeunes venus bénévolement des quatre coins du monde (Mexique, Corée, Russie, Espagne, Chili, Angleterre, etc…)

Le château

Noble Etienne de Crès fit bâtir le château en 1675.

Le château appartient, par la suite aux Gassion, aux Montengon, à la famille d’Auture, aux Bataille-Furé, à la famille Clouchet et à la famille Layrisse fin du XIX° siècle.

Implanté au cœur du village, rénové régulièrement par son propriétaire privé, ce bel ensemble est un atout qui donne au centre du village un attrait supplémentaire.

La gare

Située au coeur du village, de l’autre côté de la place de la mairie, elle fut ouverte aux voyageurs le 3 février 1902 et reliait Pau à Pontacq. Elle fut fermée le 31 décembre 1930. Puis, dans les années 80 et pendant près de 30 ans, elle a abrité la bibliothèque municipale (jusqu’à fin 2013). Elle est aujourd’hui propriété d’une famille de Barzun.

La fontaine du lion

Elle se trouve à l’entrée de l’église et date de 1879.

Cette fontaine se trouvait à l’origine contre la maison Bouly (rue du Bois) et l’eau qui coulait servait à abreuver le bétail de passage.

Le Dolmen

Ce dolmen a été découvert en 1968 dans un champ agricole de Barzun appartenant à la famille Larbiouze de Hours. Il est démonté et sera déplacé en 1972 à Arudy par Georges Laplace, maître de recherches au CNRS. En 1990, Georges Laplace aménage à Coarraze, démonte le dolmen et le cède à sa nouvelle commune qui l'installe sur la place de la mairie.

En 2010, à force de persévérance, une entente est conclue entre les communes de Coarraze et de Barzun et le dolmen est alors autorisé à revenir sur sa terre barzunaise d'origine !

Il sera dénommé dans plusieurs écrits "le dolmen voyageur".

Avec l'aide précieuse d'un archéologue M. Claude Blanc, et les services d'une entreprise barzunaise, le dolmen voyageur est définitivement installé autour de l'église où il finira ses jours, heureux de retrouver sa terre d'origine…